Dans les contes de fées, les sorciers portent toujours de ridicules chapeaux et des manteaux noirs. Et volent à califourchon sur des balais. Mais cette histoire n’est pas un conte de fées…
Agée de seulement huit ans, une fillette, accompagnée de sa grand-mère, va vire une aventure extraordinaire. Quittant la Norvège pour découvrir le monde, elle se retrouve en Angleterre. Tandis qu’elle explore son nouvel environnement, elle va se retrouver confrontée à tous les sorciers du Pays… Et malgré son courage, le Grandissime Sorcier ne tardera pas à la transformer en souris…
« Un spectacle qui nous transporte, qui nous apprend à nous méfier des faux-semblants et qui nous prouve que le véritable amour va au-delà des apparences ! »
Théâtre en musique
Durée : 50 minutes
Avec : Marlène Mies-Boulet et Marion Tiberge
Booking : Compagnie Comme si …
compagniecommesi@gmail.com
media
CADMIUM
PERFORMANCE
Lecture engagée
enrobée d'ambiance sonore.
Le Projet Cadmium est né de la collaboration de Marion Tiberge, violoncelliste contemporaine et d’une conteuse de l’anthropocène : Océane Perrin. Cette balade sonore au cœur de la notion de paysage est une rencontre avec l’organique qui peuple notre réalité…
Cadmium est une série de rencontres avec des représentants du genre végétal, les plantes ne sont pas le décor, le fond du récit, mais sa matière vibrante, son sujet. Le cadmium qui donne son titre au projet est un élément chimique utilisé entre autres pour ses propriétés colorantes, produisant une gamme de couleur allant du jaune au rouge. Le jaune cadmium est un jaune acide, tirant sur le vert. Que font les fougères qui bordent la route d’un temple autrefois sacré ? Comment vivent les orties qui peuplent les friches ? Dans quel nuage coloré se déploie l’existence du fongique ?
media
kim
court-métrage
Composition
"Kim" de Clément Rigour
À la demande du réalisateur Clément Rigour, Marion Tiberge compose la musique du court-métrage “Kim”.
Synopsis : C’est l’histoire de la journée d’une jeune femme qui, pour oublier une réalité dans laquelle elle ne s’intègre pas, oscille entre des moments ennuyants et des moments fantasmés.
Artiste circassienne tout-terrain et explosive, spécialisée dans la corde lisse, Laura Terrancle utilise le cirque comme langage pour interroger les codes de notre société. Oscillant entre gravité et humour, Le Journal de la Femme Canon place la question de la féminité au coeur de son premier solo. Au départ, il y a cette femme de cirque. Son corps qu’elle modifie. Cette obsession de la féminité, ce besoin de transformation permanent. Puis, il y a un débordement d’artifices, jusqu’à briser les stéréotypes. Renverser les canons. Passer du beau au difforme pour renverser les codes du corps parfait. Écrire un manifeste de l’autre beauté, des beautés multiples : cassées, musclées, enrobées, dures, bourrelées.